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La sécurité d’abord

Les prescriptions légales suisses obligent l’employeur à prendre des mesures adéquates pour éviter les accidents et les maladies. La nomination d’un préposé à la sécurité (SIBE) en fait partie. Chez Pärli, il s’agit de René von Büren, qui travaille principalement en tant que responsable du service clientèle.

Les tâches du SIBE comprennent par exemple la vérification que le personnel soit suffisamment formé. René von Büren cite l’exemple de l’utilisation des plateformes de levage ou chariots élévateurs. Il effectue aussi des contrôles aléatoires sur les chantiers et vérifie que tous soient correctement équipés et que les lieux soient sécurisés. Tout le personnel doit aussi savoir utiliser correctement un défibrillateur, ce que nous avons récemment exercé au sein de l’entreprise. «En fait, un SIBE doit investir un jour par semaine pour la sécurité, mais c’est un peu théorique, tout ça», raconte-t-il.

La sécurité d’abord

10 règles vitales

La base de son travail, ce sont les «10 règles vitales pour les techniciens du bâtiment» de la SUVA, dit René von Büren. Il s’agit d’une part d’une brochure avec des astuces très concrètes, d’autre part de documents de formation que les responsables de la sécurité peuvent utiliser tels quels. «Chaque leçon est entièrement prête, c’est très pratique.» Pärli a évidemment aussi signé la charte de la SUVA (cf. ill.). La SUVA procède elle-même à des contrôles et se rend donc inopinément sur les chantiers à cette fin. «Ça s’est passé récemment», raconte René von Büren. «J’ai ensuite utilisé leur retour écrit pour créer un petit rappel interne au format carte de crédit». Une carte de crédit que tous les employés portent désormais sur eux. Elles comportent les 10 règles vitales en bref, puis les numéros de téléphone utiles en cas d’urgence, police, pompiers, REGA et membres de la direction.

Formations

René von Büren raconte avoir récemment présenté ces petites cartes à tout le monde lors d’une rencontre du personnel Pärli. Mais plus que la théorie, ce sont les formations sur place, des instructions concrètes sur les chantiers, telles que prévues par la documentation de la SUVA, qui importent. Il ajoute que suissetec est aussi un bon interlocuteur. Il dispose de concepts de sécurité sectoriels et fournit des check-lists clé-en-main. «Ce sont des super outils», dit-il. René von Büren accomplit ses tâches dans le cadre d’un concept de sécurité dans lequel les obligations de l’employeur sont précisées et qui règle ce qui doit être fait à quel moment. S’y ajoutent des concepts de premier secours, de sécurité électrique et d’urgence; ce dernier définit par exemple un lieu de rassemblement en cas d’incendie.

Le danger potentiel de l’amiante

Ceux qui travaillent dans un bâtiment construit avant 1990 doivent impérativement s’assurer qu’il n’y a pas de risque lié à l’amiante. Joints de carrelage, isolations de tuyaux et plaques d’armoires électriques sont tous des classiques de l’amiante. S’il y a le moindre doute, il faut absolument faire tester par un laboratoire s’il y a présence d’amiante, car même des quantités minimes sont dangereuses pour la santé.. Le cas échéant, il sera fait appel à une entreprise spécialisée pour l’élimination de l’amiante.

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